Si l’année dernière nous avions eu la chance d’avoir des webcasts enregistrés pour chaque session, malheureusement cette année nous n’avons pas eu le budget. Je n’ai donc que les slides à vous proposer, pour cette session Modélisation Dimensionnelle présentée avec mon compère Charles-Henri. Ah et une photo aussi 🙂
J’en profite pour rappeler la littérature obligatoire dont on parle pendant la présentation :
- Entrepôts de données / The Datawarehouse Toolkit, la bible du décisionnel sur Amazon
- The SQLBI Methodology, les PDF gratuits de Marco Russo et Alberto Ferrari
Voilà pour le contenu de la présentation. Concernant le « public speaking », je vous avoue que c’est un exercice qui m’éclate de plus en plus. Si j’ai encore les chocottes les 5 premières minutes avant le début, ça ne dure guère et ça se transforme vite en plaisir.
Par contre, pour que ce soit vraiment le cas, cela demande quand même 2 choses :
- D’abord parler d’un sujet qui me passionne. Je ne pourrais définitivement pas faire ça sur un sujet qui ne m’intéresse pas, ou avec des contraintes éditoriales qui m’empêcheraient de délivrer le message comme je le souhaite.
- Ensuite de la préparation ! Il faut du temps pour murir les slides (au moins 3 versions successives complétement différentes), et surtout répéter, pour harmoniser son discours, travailler ses transitions et valider qu’il y a bien un fil rouge, qu’on raconte bien une histoire, plutôt qu’énumérer une suite de listes à puces.
Si ces deux conditions sont remplies, alors c’est vraiment fun !
Et vous avez l’habitude avec moi, là aussi j’ai un gourou dont je suis les enseignements, il s’agit de Scott Berkun (celui dont je tiens également la vision différente du rôle de chef de projet) et son livre c’est « Confession of a Public Speaker », une référence sur le sujet.
Enfin, n’hésitez pas à me faire vos retours sur la session dans les commentaires. Ce que vous avez aimé, ce qui vous a déplu, à quel moment je vous ai perdu, est-ce que j’ai réussi à vous rattraper… Ça m’intéresse beaucoup ! Et en question complémentaire : on parle de quoi l’année prochaine ? 😉